Un journaliste vedette en difficultés

L'ex-présentateur vedette du journal télévisé de TF1  assigné par Agathe Borne pour violation de la vie privée.



Le journaliste et ex-roi de la grande messe du 20h a reçu  une assignation en justice pour "Contrefaçon et atteinte à la vie privée".



La marionnette de PPDA (Patrick Poivre d'Arvor) de la chaîne de télévision Canal +




Dans ce fameux roman "Fragments d'une femme perdue", Agathe Borne reproche, entre autres, à PPDA (Patrick Poivre d'Arvor) d'avoir publié, donc reproduit, de longues parties de lettres personnelles qu'elle lui avait envoyées... au temps de leur grande amitié ! C'est ce qu'on appelle en droit de la "contrefaçon", quand on publie de la correspondance privée. Cette affaire sera  plaidée en septembre 2011, devant la 17eme chambre civile au TGI de Paris.






Le TGI de Paris a considéré que son roman "ne pouvait être qualifié d'oeuvre fictionnelle" et a condamné PPDA (Patrick Poivre d'Arvor) à verser 33 000 euros à son ex-compagne.
C'est une condamnation très lourde que la XVIIe chambre civile du Tribunal de grande instance de Paris vient d'infliger à Patrick Poivre d'Arvor : 33 000 euros pour avoir, dans son roman " Fragments d'une femme perdue", porté atteinte à la vie vie privée et aux droits d'auteur de son ancienne compagne, Agathe Borne. En théorie, cette somme devrait être acquittée conjointement par son éditeur, Grasset. Mais compte-tenu du fait que PPDA (Patrick Poivre d'Arvor) s'est livré à des "contrefaçons" répétées dans ce roman, la maison d'édition pourrait demander que l'ancien présentateur du 20 heures se "porte en garantie" et paye seul les 33 000 euros.



Le tribunal a ainsi confirmé que huit chapitres du livre étaient bien, pour tout ou partie, non de la main de PPDA (Patrick Poivre d'Arvor), mais de celle d'Agathe Borne, l'ex-présentateur du 20 heures s'étant contenté de les insérer dans son roman. 
Au passage, cet élément met évidemment à mal la défense du journaliste, qui prétendait que ce roman était une pure fiction. Le tribunal l'affirme d'ailleurs sans détours : "Les procédés littéraires utilisés ne permettent pas au lecteur de différencier les personnages de la réalité, de sorte que l'oeuvre ne peut être qualifiée de fictionnelle." 



Le tribunal insiste d'ailleurs dans son jugement sur la "gravité des atteintes à la vie privée, portant sur des aspects particulièrement intimes ou douloureux." 
Décision plutôt rare, les juges ont décidé d'interdire toute "réimpression, réédition et exploitation dérivée de l'ouvrage, notamment en format poche " de Fragments d'une femme perdue". 



Parallèlement, le groupe TF1 ( l'ancien employeur de PPDA)  porte plainte contre Patrick Poivre d'Arvor auprès du tribunal de grande instance de Nanterre en réclamant 400 000 euros pour « dénigrement ».
En novembre 2011, PPDA (Patrick Poivre d'Arvor) est condamné par les prud'hommes à verser 400 000 euros de dommages et intérêts à TF1, pour non-respect de sa clause de confidentialité.
Cette condamnation est confirmée en appel en octobre 2012. La Cour de cassation la confirme définitivement en janvier 2014.

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